mercredi 27 mai 2009
Où avez-vous mis votre Molière ?
À côté de mon César.
Que représentent pour vous ce Molière et le spectacle « Cochons d’Inde » ?
Ce Molière, j’ai la sensation que ça représente beaucoup plus de choses que je ne pouvais le prévoir avant. C’est très important pour les autres, pour le public, pour les gens que l’on croise dans la rue et qui sont tous au courant. J’en avais sous-estimé l’importance. Et pour moi, c’est très flatteur. La pièce « Cochons d’Inde », c’est une expérience très réussie, dans tous les domaines. On a commencé par la tournée et on s’entend tous très bien. C’est très agréable. Puis, on a eu d’excellentes critiques, beaucoup de public, et d’autant plus depuis les Molières. On craignait les longs week-end de mai durant lesquels les gens désertent Paris et vont boire des verres en terrasse. Mais on n’a jamais été aussi plein. C’est un gros succès, on a plaisir à jouer : c’est « une parenthèse enchantée » !
Vous souvenez-vous d’un moment ou d’une cérémonie en particulier ?
Pour cette cérémonie-là, je me souviens des larmes de ma fille. Pour les autres, j’ai surtout un mauvais souvenir : il y a quelques années, je devais remettre un Molière et je me suis trompé sur le texte. On m’avait donné un texte pour être drôle, mais je ne l’ai pas assez travaillé, ça n’était pas très bon. C’était cuisant.
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