mercredi 27 mai 2009
Où avez-vous mis votre Molière ?
Mon Molière, il est sur mon piano, chez moi.
Que représentent pour vous ce Molière et ce spectacle, « Journal à Quatre Mains » ?
Ce Molière, comme je l’ai dit, c’est « une belle joie simple ».
« Journal à quatre mains », c’est une joie renouvelée tous les soirs, depuis trois mois que Lisa Schuster et moi sommes sur scène. En jouant, c’est comme si toutes les qualités de Benoîte Groult me revenaient. C’est une chance de représenter ce qu’elle était à vingt ans. D’essayer de le faire le mieux possible.
Vous souvenez-vous d’une cérémonie, d’un moment particulier ?
Au risque d’être taxée d’égoïste, je dirais cette cérémonie-là, la 23e Nuit, parce que j’étais concernée. Sinon, je me souviens de l’année (1987) où Philippe Caubère a reçu le Molière de la Révélation théâtrale (pour Ariane ou l’âge d’or). Je suis très admiratrice de ce qu’il fait.
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