Où avez-vous mis votre Molière ?
Dans ma cuisine, au dessus du garde-manger. Ça n’est pas très glamour mais pour l’instant il est là…
Que représente pour vous ce spectacle, Le repas des fauves ?
C’est un projet au long cours… Ça a commencé par une lecture il a y plus de 5 ans, mais déjà avec la même équipe, ce qui est vraiment satisfaisant. Il nous a fallu beaucoup de persévérance et de travail pour trouver un théâtre qui prenne le risque. Ça a été très compliqué et très long. Ce spectacle et ce Molière, c’est donc une prime à la persévérance, au travail et, aussi, un petit peu à la chance.
Un souvenir marquant des 25 dernières années de théâtre ?
Comme je l’ai dit à la cérémonie, je garde en mémoire le Hamlet mis en scène par Patrice Chéreau. Il a d’ailleurs eu le Molière du metteur en scène pour ce spectacle. J’avais 13 ou 14 ans et ça a été un choc théâtral. Je ne monterai jamais Hamlet, ça j’en suis sûr !
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